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Chapter 1 - Nadeshiko Yamato — ou l’Art Sublime d’Être un Figurant dans sa Propre Vie

Narré par moi Nadeshiko Yamato ou Yamato Nadeshiko ? Vous savez quoi, c’est pas ça le plus important. Le plus important, c’est que vous aurez le bonheur (le malheur) de suivre un perso avec autant de background qu’un perso de fond d’un slife of life (qui spoiler alert, va finir en héros d’Isekai, ah bah ouais autant vous dire la vérité tout de suite et je suis un mec au cas où)

Tokyo. En une année dont vous n’avez pas besion de connaître (c’est quand même un isekai, je vais pas rester longtemps de toutes les façons)

Mon nom Nadeshiko Yamato.

Ouais Yamato, comme l’ancien nom de l’Empire du Japon, comme le cuirassé japonais de la seconde guerre mondiale, le plus gros cuirassé du monde (notre plus gros point commun si vous voyez ce que je veux)

Nadeshiko (ou qu’est ce qui a pris à mes parents de me donner un nom pareil). Bref Nadeshiko, comme la fleur de lys, comme un perso moe de shojo, une waifu kawaï de gacha game, comme une idol, ou comme le symbole de la femme parfaite dans cette société patriacale. (Si la femme parfaite avait le poids et la beauté d’un sac de patate de 90 kilos)

Bref, je suis gras mais pas gras et mignon comme Russell dans Up. Non. Gras. Et à moitié moche. En plus d’avoir le niveau d’humour d’un oncle beauf à Noël

Et bien évidemment je suis geek. Oui pas comme Tony Stark, Peter Parker (bien que j’ai plutôt de bonnes notes à l’école).

Non geek dans le genre, gros rond, cloîtré H24 dans sa chambre, remplir de manga, light novel, et figurines premium collector de Rem, Asuna, Zero-Two bien évidemment et etc, poster de Dragon Ball (ou d’Itachi (the goat)). A lire sur des forums otaku (et parfois y participer), des débats (insultes) sur la meilleure waifu ou sur qui solo ? dans un vs Saitama vs Goku (pff, ils sont dans le genjutsu du Lord) (sans oublier les pics sur Dragon Ball Evolution). Jouer à Fire Emblem et Final Fantasy VI (le meilleur, I’m not willing to debate) et God of War, et collectionner des cartes pokémons (d’ailleurs mon Pokemon pref, c’est magicarpe, car il me donne l’espoir que même un looser, inutile et moche, peut évoluer en puissant Leviathor)

Et comme si la barre de clichés n’était pas assez remplie comme ça, je suis myobe avec de grosses lunettes rondes.

Bref, je vous l’aurai compris, je suis un NPC de la vie. Le genre de perso qu’on choisis en dernier dans une équipe (et encore pas sans avoir longuement hésiter) Le genre de perso que même les pnj préfèrerait déménager du script plutôt que de parler. Sérieux, si j’étais un perso jouable dans un MMORPG (ce qui est impossible), même moi, je ne me serais pas choisi.

Et évidemment, je suis harcelé et racketté à l’école. (Cliché ! Oui et plus que moi meurs)

Mais moi, tout ce que je veux, c’est existé pour au moins qqn.

Jeudi 13 Février (Mon anniv c’est demain, c’est marrant), Scène de racket n° (Bon flemme d’inventer un nombre)

Au lycée de Shohoku (ouais comme dans Slam Dunk) mais moi, j’ai pas la force de parcourir 28 mètres en quelques fractions de seconde. Bref le lycée. Classique, grand bâtiment blanc, avec une grande horloge en dessus.

A 14h30, je marche furtivement en espérant que mes bourreaux (tout sauf de cœur) ne me remarquent pas, ou aient attrapé la conjonctivite. Mais vu que j’ai autant de chance qu’un méchant de cartoon, c’était trop beau.

Et alors que j’empruntais un couloir, là j’entendis

-« Hé Yamapatapoffe » (au moins, il me donne un surnom c’est beau (n’est-ce pas ?)

- « Tu n’oublies pas ton tribut quotidien » dit-il avec une voix mesquine.

Jinta Gyouki, grand, né avec une batte de baseball dans la main et le cerveau d’une cacahouète, le charisme d’un névralgique (quoique toujours plus charismatique que le sac à patate que je suis).

Accompagné par qui ? Surprise : Haruto Namiki, dont on dirait être sorti tout droit du manuel comment être un bond acolyte en 05 chapitres. L’archétype du lèche botte quoi.

Ainsi que voyez là. Un stagiaire (Sérieux ! ce scénario se fout de ma gueule). Posé là avec à la main un carnet (à croire qu’il a cru qu’harceler comptait dans le CV (quoique)).

Puis Namiki me prit par les cheveux (en disant au stagiaire de bien noter) «Hé ! Yamabouffon, tu ferais mieux, de le faire si tu ne veux pas qu’on te pette les burnes »

Et le pire c’est que le stagiaire notât.

Puis, le stagiaire demanda « Mais pourquoi, on fait ça déjà ?

Et là, Jinta dît « Ta gueule, c’est dans le script » (what ?).

-Attendez, c’est dans le script ? Repliqua encore Jinta

Puis, il sortît un carnet ou j’ai bien cru voir écrit sur la couverture « Isekai n° (bof flemme) My Destiny, to be the Brave » (Sérieux on sent que l’auteur manquait d’inspi en donnant un titre pareille » Puis le feuilleta. –« Là, Chapitre 1, scène 2, page 17, Harcelé Nadeshiko Yamato ou Yamato Nadeshiko (Ah ! C’est nom japonais à la con) à 14h30 » « Tu vois ; c’est dans le script »

Attendez ! Attendez ! Attendez ! Donc, depuis tout ce temps ma vie n’était qu’une simulation ? Un Isekai bas gamme qui veut faire genre, il va être originel (ou parodique) (mais on sait tous que c’est faux). Ou alors c’est moi qui commence à être fou (Vous voyez à force de voir Matrix)

Mais vous savez quoi ? On ne va pas rallonger l’intrigue avec ses questions existentielles inutiles.

Bien évidemment, je les donnai mon argent et mon panier repas (ainsi que ma dignité !) (Au moins, ça me fera perdre du poids. A moins que toute cette graisse soit remplacé par le poids de la honte).

-« Quoi ? S’exclama Namiki 1 600 yens ? 02 Onigiri ? Du poulet Takayaki ? Des légumes marinés cuits vapeurs ? Ce plat à autant d’originalité que ta vie. (Touché, pile là où ça mal).

« Parfois je me demande pourquoi, on continue de te racketer » repliqua Jinta

« Peut-être parce que vous savez que même en cotisant tous l’argent de votre famille. Vous ne pourrez jamais vous permettre ça » Répliquait-je à mon tour (J’vous avait prévenu que j’avais la langue bien pendu)

Bien évidemment, ils me frappèrent (ayant même invité le stagiaire). Et heureusement qu’ils commencèrent à fatiguer. Ils s’en allèrent.

(Mais avant de s’e aller, le stagiaire sortît « J’espère que tu auras au moins une mort original » ( Mais keske ? Je l’espère aussi p'tit. Je l'espère aussi (en larmes)).

Mais vous savez, c’est quoi le pire ? C’est que malgré ce harcèlement et ces rackets, je les suis quand même reconnaissant car eux au moins voient que j’existe (ouais c’est désespérant). Pas comme certaines personnes que je pourrais appeler ma famille

Scène n° bof : Le bercail (selon le dictionnaire)

Bref, ma famille. Ma famille ? Je devrais plutôt dire mes colloc ? Car, chez nous, on est tous sauf une famille.

Ma mère ? Disparu (quand j’avais 6 ans ou 7 ans, m’en souviens plus) ? Evidemment.

Mon père. Il a oublié tout ce qui me concerne (ouais même mon nom, alors mon anniv)

-« Papa, je suis rentré » m’exclama je en me demandant l’utilité

-« Ah, t’es rentré ! Kobeni (c’est le nom du chien du voisin) 

Ouais, je ne l’ai pas corrigé (j’ai déjà plusieurs fois. Spoiler alert : ç’a pas marché). Et c’était déjà ouf comme ça qu’il est remarqué ma présence.

Pourquoi j’ai quand même un argent de poche ? Sais pas. Peut-être juste parce qu’il a une étrange sensation de présence ?

Puis, il y’a mes frères (ou moi, dans un univers alternatif (où j’suis pas héro d’Isekai)) : Shigure, le frère ainé un peu intello de la famille, professeur en philosophie à l’université de Tokyo ; et Rekka, mon cadet, le sportif talentueux de la famille (il joue en équipe Junior du Tokyo Yakult Swallows club, équipe de Basketball, ouh ouh). Et moi, je suis le juste milieu (ou l’anti-milieu, je dirais plutôt le gros au milieu).

Ma relation avec eux. Bah eux, ils voient que j’existe mais eux ils préfèrent littéralement m’ignorer comme on ignore un vieux vase donné par un grande tante éloigné (alors je ne sais pas si ce n’est pas eux les pires). Toujours est-il qu’au moins eux, il se rappelle de mon anniv. Mais niveau cadeau. On passe à des boîtes de mouchoirs, à T-Shirt taille S (je sais que j’aime souvent me moquer de mon poids, mais faut pas abuser). Un jour ils m’ont déjà donné une carte (contrefait) Pokémon d’un Pokémon donc j’ai déjà + de 10 éditions.(bien que ce soit le plus beau cadeau qu’ils m’ont fait (vu que au moins, c’est geek). Et ils dorment sur leur oreiller, sommeil tranquille, en se disant qu’au moins, ils m’ont offert un cadeau (et sont donc mieux que celui que la société, nous oblige à appeler : Papa). Se foutent-ils de ma gueule ? Où ont-ils du tapioca dans le crâne ? Qui sait ?

Bref, une famille (selon le dicto)

Scène n° vous savez déjà que l’auteur à la flemme (sauf quand il s’agit de me faire souffrir le batard) : Le jour où j’ai joué le héros ou le jour où je suis mort ? (Vous saurez jamais qui c’était le responsable)

Le lendemain (oui, ce batard à choisis le jour de mon anniv pour me sacrifier)

Je marchais tranquillement ma route. Sans demander mon reste à perso, pour m’acheter un double praliné à la muscade (car il arrive souvent et je dis bien souvent que mon père (selon le dicto) augmente quelques 1000 yens pour mon argent de poche. Ou alors ce sont mes frères qui me l’offre histoire d’acheter une petite friandise d’anniv).

Bref, crève d’inutilité scénaristique.

Bon où j’étais ? Ah ! J’étais en route pour acheter un double praliné à la muscade (et je rappelle que j’avais demandé mon reste à personne)

Jusqu’au moment où j’entendît

-« Hey ! Cocotte, on t’a déjà dit qu’t’avait de très jolies lèvres !?! Ça te dira de les entrainer un peu ? » (Oh ! Non mais les jeunes d’aujourd’hui ne manquent pas d’airs)

Toujours est-il que j’ai levé les yeux et qui je vois ?

Ai Kobayashi.

Une fille de la même classe que moi. Cheveux lisses, teint claire (et possiblement peau douce), lèvres pulpeuses, blush (juste ce qu’il faut), Al liner, faux cils, visage radieux et rayonnant et un sourire (on sait très bien qu’ils veulent attirer avec ça), et sympathique. Populaire donc (sinon ça serait du gaspillage). Bref, un perso venu tout droit d’un visual novel quoi. Dans tous les cas, tout ça est useless lorsque tu te fais en crocher par 03 machos.

Oui, je sais cette scène respire le sauvetage de waifu à la rom com et l’humiliation.

Mais il a fallu qu’un flashback me reviens. Un flashback où on s’est bousculé, et elle s’est excusée en me tendant la main et en me souriant (en plus). (Je sais c’était surement par mécanisme, par politesse, parce que la courtoisie oblige). Toujours est-il que cela à suffit pour me faire faire un des choses les plus stupides et les plus clichés de mon existence. (Au moins l’auteur a eu le mérite de nous donnez un flashback ensemble)

-« Laisser la tranquille, espèce de Dodécabrutis » (J’ai pas trouvé mieux ; dsl)

-« Qu’est que tu fous frère, tu t’es trompé de plot » dis l’un d’eux (Non. Mais si même les NPC me le dis)

-« Hey, il s’est cru pour Ryuuji dans Toradora, où Ryo Saeba dans City Hunter » exprima un autre (Eh ! Oh ! Faut quand même respecter ces goats)

Bref, j’ai foncé sur l’un d’entre eux (pensant qu’avec tout mon poids, je le ferais tomber. Funfact : Ca marché)

Mais l’un d’eux me shot la tête (j’ai toujours su qu’un jour ma gros tête finirait par servir de ballon).

Puis, il commença à me ruée de coups telles des météores.

Mais moi je tombais, me relevais, pour mieux tomber et me relever encore et encore (J’ai vraiment trop mater de Shonen)

Et là je pensa (tout haut) –« Putain, même Seiya de Pégase, à ce stade aura lâchez le coup »

Pause réflexion

-« Mais qu’est ce que je raconte, le gars s’est mangé des galaxies, est littéralement descendu aux enfers et à blessé des Dieux (même durant son ancien vie) juste pour Athéna. A la fin, il a même fini paraplégique. (Plus simp que lui meurs, mais ça reste quand même un goat)

Bref, ils ont attendu, ils ont ri et m’ont encore plus frappé.

Quand soudain, Ai sort une bobonne, le secoue et le pulvérise sur le visage d’un de ses agresseurs, puis sur un autre et encore un autre.

(Attendez ! Attendez ! Attendez ! Je me suis fait m’arrave comme un golom, alors que la waifu avait de quoi se défendre ? Et moi comme un simp, je suis venu la défendre. Pourquoi, n’as telle pas utiliser ça depuis le début ? (Ah j’avais oublié, on est dans un Isekai, je vous jure qui si je l’attrape cet auteur)

Bref ! Pendant qu’ils agonisaient, prêchant tous leurs jurons sur elle.

Scène n° vous savez déjà que l’auteur à la flemme. Partie 2 : My Dead

Une voix retentît –« Hé, vous là. Oui vous. Qu’est-ce que vous faîtes »

C’était un agent de la paix (Ouais, c’est seulement après ma bonne séance quotidienne de hagra, qu’une autorité compétente vole au secours de la veuve et de l’orphelin (que je suis) (et le pire c’est qu’il a vraiment dit ça se connard inutile)

-«Hé, hé, Officier Tama, groupe sanguin O, matricule 120 7-B, secteur 4 de Shibuya, Age : 27 ans, Au service de la veuve et de l’orphelin depuis bientôt 4 ans. Au nom de la loi, je vous arrête » (Oui, ce crétin, nous a sorti tout son CV alors qu’on n’avait rien demandé)

Toujours est-il qu’après l’avoir attendu, les truands, ont fui comme les goloms qu’ils sont

Puis, Ai s’en alla (bien évidemment). Sauf que

Après avoir fait quelques mètres, elle plia ses bras derrière son dos, tourna sa tête vers moi et me dit : « En dépit de ton geste complètement inutile, con et à la limite machiste et que t’as été bien mais alors là bien ridicule. (Merci, ça fait plaise). Je tiens quand même à te dire merci, Nadeshiko Yamato » (en me souriant)

Et là comme si des nuages oragueux avaient soudainement disparu pour laisser place à de rayons de soleil radieux.

 Wow, wow, wow wow ! Pause attendez, pause. (L’auteur était sous frozen ou quoi). Elle me remercie, bon déjà pourquoi pas ? Mais qu’elle connaisse mon nom (en plus). Littéralement la fille la plus populaire du bahut (bon c’est vrai qu’on est quand même dans la même classe). (Vous voyez. Cet auteur est sadique, il veut forcer un NPC de la vie comme moi à se remettre en question, à vouloir évoluer. Ce monstre veut transformer ce qui était teasé comme un Isekai basique (ou parodique) en une school drama, une rom com entre gros moche pas beau, et la best-girl de Bahut. Arrêtez-le, pendez-le, écorchez-le. Où c’est juste moi qui devient fou. Qui en fait tout un plat pour rien (pensait-je en pleurant avec un rire cynique dans la tête).

Puis, vint l’officier Tama(évidemment, il a pris 10 minutes à parcouru 20 m)

Il me demanda –« tu vas bien petit »

-« Oui » (les larmes à l’œil et un soleil dans le cœur)

Et comme un heureux idiot, je traversai la route (sans voir à gauche ou à droite comme on nous enseigne à l’école)

-« Attention p’tit »

Bang ! Ban ! Peng ! Tang ! Pum ! (Selon votre culture)

Je fût mis en pls par

-« Mais keske » exclaffa le policier sidéré

-« Non. Truck-kun !» (le seul et l’unique) continua l’agent exaspéré

Ecrit sur sa plaque avant « Reincarnator side 1999 »

A son bord, un mec bourru, musclé, avec une moustache impériale, avec casquette où il a été écrit dessus « Client le plus connu (et peut-être le premier en vrai) : Rudeus Greyat »

Puis, il sort du camion et dit au keuf –« Désolé fiston, Murder-kun n’a pas pu venir, alors on m’a envoyé faire le job » Puis allume une cigarette, en voyant mon corps gisé au sol

Putain, au final, ma mort comme ma vie a été un énorme cliché. Je confirme, je suis bien dans un Isekai classique.

Et qui dit Isekai classique dit : Pouvoir over-the-cheat, acclamation par tous, et des harems hmmmmmm. (Laisse-moi vivre my best-life, après tous ces années de souffrance. Enfin !)

 A moins que ? Il n’oserait quand même pas faire ça ? Non pas après m’avoir tant fait subir ?

Il a quand même crée un waidu se slife of life/une meuf populaire qui sait se défendre et qui a même remercié un NPC comme moi (jusqu’à dire son nom)

Non !!! Nooooooooooooooooooooooooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnn !!!!!!!!!!!!!!!!!

Scène n°ah 5 (vous comprendrez plu tard) : Dans l’entre-deux-mondes (quelques parts dans la narration. Eh eh c’est confirmé maintenant)

Mon esprit (enfin je crois) flottait dans un néant de pur blanc.

Et là, j’entendît une voix. Une voix grave, rythmé, métallique. Bref une voix dont on dirait avoir été doublé par Morgan FREEMAN

-« Bonjour Nadeshiko Yamato »

Et c’est là que je vît un trône qui semblait être fait d’or, d’argent et d’ivoire.

Avec, une lumière intense et brillante qui laissait entrevoir une silhouette assise dessus, coude droit sur l’accoudoir, joue sur le poignet de la même main. Qui sembla esquisser un sourire malicieux. Et son regard, aussi froid et imposant que celui d’un antagoniste de shonen badass.

Et là mécaniquement

-« Lord Itachi ? »  (Oui oui ! Oui oui oui oui ! Oui Oui ! Moi avoir bel & bien dit ça)

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